Productions d'écrits du CP au CM Aprendre à écrire à l'école à partir du cp au CM, écrire des phrases et des textes. rédiger des recettes, des contes, des poésies, des récits, des fiches techniques...Savoir écrire pour les autres et être compris. respecter les normes d'écriture de chaque type de texte. Ecrire une phrase par jour, c'est l'occasion d'écrire, de lire , de s'exprimer et de consolider les compétences en grammaire, conjugaison, orthograhe, vocabulaire, (sujet, verbe, pronom, adjectif,le présent, le passé, le futur, utiliser le dictionnaire,les synonymes,les mots contraires,le complément,les sons, les syllabes,...
phrase du jour1 phrase du jour2 phrase du jour3 phrase du jour4 phrase du jour5 phrase du jour6
phrase du jour 7 phrase du jour8 phrase du jour 9 phrase du jour 10 phrase du jour11 phrase du jour 11 bis webecole passecole netclasse enseignement recettes et cuisines du mondepouvoir écrire tout les jours des mots, des phrases, des textes et apprendre petit à petit à produire des écrits et s'améliorer au fur et à mesure de la progression de l'année scolaire
phrase du jour1 phrase du jour2 phrase du jour3 phrase du jour4
phrase du jour 5 phrase du jour 6 phrase du jour7 phrase du jour 8
phrase du jour9 phrase du jour 10 phrase du jour11 phrase du jour12 phrase du jour13 phrase du jour14 phrase du jour15 phrase du jour16 phrase du jour17
|
La seule chose qui soit effectivement l'objet d'un apprentissage, c'est l'acte graphique, la capacité à former les lettres, et lorsque l'enfant " sait écrire " comme on dit, c'est-à-dire lorsqu'il est capable d'utiliser un stylo pour copier une phrase, on lui demande de produire des textes, textes " libres ", ou rédaction à sujet imposé, comme si la faculté de rédiger découlait toute de l'art de former des lettres...
Le seul travail qui pourrait s'apparenter à un apprentissage se trouve dans la " correction " de ces productions écrites : " mise au point " du texte libre ou " corrigé type " de la rédaction.
D'où trois remarques :
• Cette correction intervient " après ", c'est-à-dire trop tard (comme les carabiniers de la
chanson) à un moment où l'enfant n'en a plus que faire car elle n'a aucune chance d'être réinvestie dans le devoir suivant, qui portera sur un autre sujet et n'aura avec celui-ci aucun point commun.
• Deuxièmement, cette correction s'appuie sur des critères extrêmement flous : en quoi, et
par rapport à quoi le texte libre " mis au point " ou le corrigé de la rédaction est-il " meilleur " que le texte original ? La pertinence de cette question devient aveuglante quand on interroge des enseignants différents sur la correction d'un même texte d'élève : ce qui est sanctionné comme " faute " par l'un , passe pour trouvaille intéressante chez l'autre et les raisons d'apprécier ou de rejeter sont aussi diverses que les correcteurs : dans de telles conditions où peut se trouver l'apprentissage ? Et l'apprentissage de quoi ?
• Troisième remarque enfin : même si les critères de correction étaient solides (ce qu'ils
ne sont pas !), on sait aujourd'hui qu'une situation de correction ne peut, à elle seule, constituer un apprentissage. Pourquoi ? Parce qu'elle repose sur une analyse négative de la production, la recherche des fautes et des manques, et qu'un apprentissage se construit sur du positif : il s'agit de faire évoluer et d'enrichir ce qu'on sait faire, non de combler des trous qui n'ont jamais existé en réalité : les méfaits de " l'attente négative " ne sont plus à démontrer, je pense. lire la suite
http://www.charmeux.fr/ecritpeda.html